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Se reconvertir dans le développement web après une carrière dans le tourisme : le parcours de Jean-Marie

Après une carrière dans le tourisme, Jean-Marie se reconvertit dans le développement web ! Découvrez son parcours et ses expériences tout au long de sa carrière.

Se reconvertir dans le développement web après une carrière dans le tourisme : le parcours de Jean-Marie

Du tourisme au développement web

Bonjour Jean-Marie ! Peux-tu te présenter en quelques mots ?

J’ai 45 ans, marié et papa de deux petits garçons de 8 et 11 ans. Je suis rentré en France à la suite du COVID après plus de 20 années passées à l’étranger, essentiellement au Maroc. Je travaillais dans le tourisme, un secteur touché de plein fouet par cette crise. 

J'adore Lyon, une ville où il fait bon vivre, on y mange bien et c’est un paradis pour les coureurs ! 

 

Quel a été ton parcours avant de rejoindre la Wild Code School ?

Après un BTS tourisme, j’ai débuté une carrière chez un tour opérateur français qui m’a permis d’évoluer à destination. J’ai ensuite tenté l'expérience d’entreprenariat, je suis retourné chez un autre tour opérateur et enfin j’ai terminé les 8 dernières années sur un projet de tourisme durable, social et responsable dans une région rurale de Marrakech. J'occupais alors un poste de direction. J’y ai développé mon projet sportif “courir manger dormir” en lien avec ma passion qui est la course à pied. J’ai organisé des courses au Maroc, des événements inoubliables. Nous avions une grosse partie événementielle avec des groupes de plus de 1000 personnes assez régulièrement. Le site reprend vie petit à petit actuellement et tous les emplois locaux ont été préservés. La vocation sociale a été respectée.

 

 

Qu’est-ce qui t’a donné envie de te reconvertir dans le développement web ?

Dans mon cas, je ne parlerais pas de reconversion mais plutôt d’un complément de formation dans ce secteur du digital qui est essentiel de nos jours. 

En effet, j’ai souvent été amené à devoir trouver des prestataires pour réaliser des sites web ou d’autres travaux liés au digital et aux réseaux sociaux plus récemment. 

Pas facile de s’y retrouver dans une jungle de services parfois hors de prix et pas toujours très clairs pour un novice dans ce domaine qui doit pourtant prendre des décisions pour sa société. 

Le COVID est arrivé. Je profite de cette nouvelle étape de vie pour apprendre des choses dans des secteurs qui me faisaient défaut. Grâce à cette formation, je découvre en détail et dans de très bonnes conditions, un univers passionnant qui m’ouvre de nombreuses perspectives. 

J’aime aussi informer mes enfants sur le monde du digital. Ils en connaissent parfois plus que moi… surtout sur le gaming 

 

Devenir développeur web après une formation à la Wild Code School

Tu es actuellement en formation développeur web de 5 mois à la Wild Code School de Lyon. Quelques moments forts à nous partager ?

Le premier moment fort est la rentrée à la Wild ! Retourner à l’école, personnellement ce n’était pas rien ! Le moment des présentations est important et découvrir les parcours des nouveaux élèves est très enrichissant. 

De plus, en code, les premières “petites victoires” sont toujours des moments d’exaltations, presque des décharges d’adrénaline parfois. On entend souvent raisonner des "Ça marche !” dans notre salle de cours. Chacun, chacune d’entre nous, quel que soit son niveau, trouve satisfaction en réussissant à mettre en pratique ce que nos formateurs nous transmettent avec passion durant les cours et autres live codings d’anthologies ! 

 

Pourquoi as-tu choisi la Wild Code School, plus qu’une autre école ?

C’est une école qui a très bonne réputation. J’ai eu un très bon contact avec l'équipe administrative lors des inscriptions. Le dossier de financement est d’autant plus facile à monter, car la Wild est reconnue. Le test technique permet aussi de travailler en amont, avant la formation, grâce aux conseils du formateur qui corrige ce premier travail. 

On découvre à cette occasion le format pédagogique original de la Wild qui est assez agréable à travailler. 

De plus, j’ai eu facilement le contact d’une ancienne “Wildeuse” qui m’a répondu avec bienveillance. Son retour d'expérience a fini par me persuader.

À noter également : la Wild possède un réseau intéressant et une personne motivée peut facilement ouvrir de nombreuses portes grâce aux contacts que nous propose l’école. Cet aspect "réseau" est important et à ne pas négliger dès le début de la formation.

L’école développe de nombreuses aides pour la recherche d’un stage, d’une alternance, d’un emploi. 

 

Le tourisme et la tech : quésaco ?

Revenons un peu à ta vie passée. Tu as travaillé 10 ans chez Look Voyages en tant que Resident Manager. Peux-tu nous en dire plus ? 

Ce métier consiste à s’assurer du bon fonctionnement des opérations dans un pays pour un tour opérateur. Il faut manager les équipes envoyées sur place et s’assurer de la qualité des prestations de nos partenaires (agences réceptives, hôteliers, prestataires excursions, compagnies aériennes, sociétés chargées des rapatriements…).

J’étais en première ligne pour organiser les opérations lors des crises qui se sont succédé : volcan islandais, attentats, avions qui ne décollent pas, printemps arabe en Égypte…

La diplomatie est une qualité essentielle pour faire cohabiter les différents métiers et les différentes nationalités dans le but de satisfaire les clients que nous envoie le tour opérateur. La fermeté dans les négociations avec les partenaires est aussi importante pour défendre les intérêts de la marque. 

Des années inoubliables avec des équipes formidables.

Je pourrais écrire quelques livres grâce à ces expériences… Enfin, créer quelques sites web ! 

 

Selon toi, quels sont les enjeux de la digitalisation du domaine du voyage et des loisirs ? 

Très bonne question. Le tourisme entreprend sa transformation digitale. Les réseaux sociaux, avec leurs communautés de voyageurs, prennent une place de plus en plus importante. Des applications sont créées pour faciliter l’accès des touristes aux points d’intérêts à destination. Les visites virtuelles utilisent les nouvelles technologies pour proposer des expériences immersives à des publics qui en ont besoin. Les loisirs en lien avec le digital sont nombreux et tous publics. 

Assurer la sécurité des voyageurs est la préoccupation essentielle des organisateurs de voyages, avec bien entendu la préservation de la planète. Le tourisme est trop souvent accusé de créer plus de mal que de bien, surtout quand il est de masse. 

Les acteurs du monde du tourisme ont à cœur de trouver des nouvelles solutions pour développer un tourisme durable, socialement responsable et respectueux de la planète. Ils ont compris que le digital et ses nombreuses possibilités peuvent les aider à atteindre leurs objectifs. 

L’application JOOKS (ex Runnin’City) s’intègre dans cette démarche. 

Le COVID redistribue les cartes et les innovations sont essentielles pour que le tourisme retrouve ses chiffres d’avant crise. Trop de pays dépendent de ce secteur et dès qu’il est touché, ce sont des crises sociales qui précèdent d’autres catastrophes économiques.

Mais attention à ne pas confondre les besoins des professionnels du tourisme pour se développer et les attentes des touristes qui, eux, se dirigent de plus en plus vers des vacances déconnectées, en mode slow tourisme. 

Rassurer ses clients et leur offrir les prestations au bon prix est essentiel. Le digital envahit les bureaux des grands tours opérateurs ! 

Je développe moi-même une application qui consiste à diminuer les frais de voyages en se passant de bagages en soute. Cette application consiste à créer une communauté de voyageurs qui partagent les mêmes valeurs et luttent contre le gaspillage vestimentaire. Les associations locales sont également mises en avant dans ce cercle vertueux. Le projet “Wear B’N'B” intéresse des ESN, des écoles d’informatique, de tourisme et des agences de voyages.   

Penses-tu continuer à œuvrer dans le domaine du voyage dans ta carrière ?

Avec les nouvelles compétences acquises durant cette formation, je me dirige désormais dans le secteur Tourisme, Sport / Événementiel et Digital. 

J’ai trouvé un stage qui correspond à mes attentes au sein de la société mile positioning solutions qui développe l’application JOOKS (ex Runnin'City). Cette application propose des parcours de course à pied, marche, marche nordique et fauteuil roulant, dans le monde entier. 

Idéal entre deux quêtes JavaScript ! 

 

As-tu d’autres projets pour l’avenir ? Si oui, souhaites-tu nous les partager ?

Dans le domaine du digital, je souhaite promouvoir autant que possible mon idée d’application Wear B’N’B qui trouve sa place dans notre époque si concernée par l’écologie et les nouveaux modèles économiques.

J’ai déposé le projet au concours Startup Lyon et nous aurons les résultats avant le 11 juillet ! On croise les doigts…

 

Merci pour toutes ces réponses ! As-tu un dernier mot pour les futurs Wilders qui n’osent pas sauter le pas de la reconversion professionnelle ?

Une fois que vous aurez bien cerné vos objectifs et bien pris connaissance des enjeux et des exigences du secteur du digital, je ne peux que vous encourager à intégrer la Wild Code School. 

Je ne pense pas qu’il soit bon de se demander si le digital est fait pour vous, mais demandez-vous plutôt quel métier du digital est fait pour vous !  

Bonnes quêtes ! 

 

Pour aller plus loin…

Si, comme Jean-Marie, vous souhaitez vous reconvertir dans le développement web, on vous invite à débuter gratuitement et en ligne avec notre cours prépa Développeur web !

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