Le 4 septembre prochain, la Wild Code School accueillera sa première promo de Wilders à Paris, au 11 rue de Poissy, en plein cœur du quartier latin, lieu historique de l’excellence universitaire. L'école proposera ainsi une formation de développeur à Paris.
“L’Esprit Wild” : de La Loupe à Paris, il n’y a qu’un pas !
La première Wild Code School a vu le jour en 2014 à La Loupe, petite commune d’Eure-et-Loir. Avec elle est né “l’Esprit Wild” : une approche pédagogique qui prend le contre-pied du système éducatif classique. Animés par la volonté de révolutionner l’éducation, ses fondateurs, Anna Stépanoff et Romain Coeur, ont fait le choix de commencer loin de l’émulation parisienne, pour se laisser le temps de l’itération et de la maturation. Depuis cette première aventure, La Wild Code School est montée en puissance et comptera en septembre 9 campus en France. Le bilan de ce développement en région ? Un modèle éprouvé, en amélioration constante, qui permet aujourd’hui à 85% des Wilders d’être en poste un an après la fin de la formation.
C’est en s’appuyant sur cette expertise que la Wild Code School ouvre son campus à Paris, écosystème tech incontournable : y seront formés des développeurs web à la fois spécialisés sur Javascript/Full Stack et rompus aux méthodes agiles, indispensables dans un secteur en constante mutation.
L’objectif de ce flagship campus est de devenir le point d’entrée d’une stratégie de développement à deux volets : un déploiement territorial en Ile-de-France et une internationalisation prévue dès 2018.
La Wild Code School confirme son ancrage dans l’écosystème francilien
Bien que d’abord déployée en région, l’école a su nouer des liens forts avec l’écosystème francilien. Grâce au concours Viva Technology, co-organisé par le Dojo Group et SKEMA et remporté en 2016, l’équipe centrale a pu s’installer à Paris dès septembre 2016. Aujourd’hui au 11 rue de Poissy, le campus est voisin du cabinet de recrutement digital Urban Linkers, répondant ainsi à la volonté d’être au plus près des besoins des start-ups et des entreprises locales. Ces dernières embauchent déjà certains alumnis de la communauté des Wilders :
“Après des années dans la gestion des services informatiques et une période de chômage, Yves, 53 ans, est devenu un Wilder et s’est reconverti avec succès au métier de développeur web. Il est aujourd’hui en CDD chez ATIXNET à Montreuil.”
“Ancienne étudiante en journalisme qui s’est passionnée pour le code lors d’un stage dans une maison d’édition, Paola, 27 ans, a décroché à l’issue de la formation un CDI chez SQLI à Saint-Denis.”
La Wild Code School cultive aussi une proximité avec les établissements d’enseignement supérieur : elle est déjà présente en Ile-de-France avec un campus à Fontainebleau, installé sur le site de Mines ParisTech. Ce dernier collabore régulièrement avec les élèves du programme MBA de l’INSEAD.
Mais la Wild Code School est avant tout une aventure humaine, soutenue et appuyée par des personnes qui ont adhéré au projet : l’incubateur The Family, qui a accompagné les débuts de l’école ; La France s’engage, qui l’a primée, tout comme le concours Graines de Boss qui a notamment permis la rencontre avec Aurélien Louvet de Capstan ; le label Grande Ecole du Numérique et l’appui de Stéphane Distinguin, le Programme d’Investissement d’Avenir “Culture de l’entrepreuneuriat et de l’innovation” dont l’école est lauréate et qui lui a valu le soutien de Nicolas Turcat de la Caisse des Dépôts ; la Région Ile-de-France avec Julien Loyer et enfin Cap Digital dont la Wild Code School est membre. L’école a achevé avec succès une levée de fond en mars 2017 auprès de 22 Femmes Business Angels et 2 membres du réseau Paris Business Angels.
Portée et soutenue par des nombreuses femmes, la Wild Code School s’engage au quotidien pour une meilleure représentation des femmes dans le numérique. Avec 23% d’effectifs féminins au niveau national, et jusqu’à 45% sur le campus de Lyon, l’école obtient de bons résultats, soutenus par un ancrage fort dans l’écosystème parisien. Anna Stépanoff est intervenue lors de la Journée de la Femme Digitale 2017 et l’école collabore régulièrement avec Social Builder, start-up sociale qui oeuvre pour plus de mixité femme-homme dans le numérique.
A chaque école son Campus Manager
Le campus de Paris sera dirigé par Marine Bonté, parisienne devant l’éternel qui nourrit une passion vibrante pour l’éducation et l’innovation. Cette dernière partage avec les Wilders une grande curiosité et un parcours atypique. Formée aux sciences humaines, au lobbying, au management international et au management de l’innovation par le design, Marine a accompagné des entrepreneurs sociaux au sein de l’incubateur de La Ruche Paris avant d’accompagner le philosophe Abdennour Bidar, inspecteur général de philosophie au sein de l’Education Nationale, dans le déploiement de sa pensée. Convaincue du pouvoir transformateur du numérique, elle rejoint la Wild Code School en mai 2017 pour faire du campus de Paris un acteur phare de l’écosystème.
Pour faire partie des premiers Wilders de Paris, c’est par ici.