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D’une licence d’histoire à une reconversion en data engineering : retour sur le parcours d’Alan

Après une carrière de Gestionnaire pédagogique à l’Education Nationale, Alan a choisi de se reconvertir dans la data. De Data analyst à Data engineer, découvrez son parcours à la Wild Code School !

D’une licence d’histoire à une reconversion en data engineering : retour sur le parcours d’Alan

Se reconvertir dans la data engineering : quelles étapes ?

Bonjour Alan ! Peux-tu te présenter en quelques mots ?

Bonjour ! Alan, 30 ans, passionné de jeux vidéo et guitariste à mes heures. J’ai suivi la formation Data analyst de la Wild Code School en 2021 sur le campus de Paris. Ayant terminé mon stage début février, je me suis lancé dans la formation Data engineer depuis le 9 mai 2022 et mon alternance au sein de l’entreprise mon-marché.fr.

 

Quel a été ton parcours avant de rejoindre la Wild Code School ?

À l’origine je ne suis pas issu du secteur de la tech. J’ai obtenu une licence d’histoire en 2016, suite à laquelle j’ai travaillé à l’Education Nationale en tant que Gestionnaire pédagogique. J’ai par la suite décidé de reprendre mes études en Master de littérature, néanmoins la crise sanitaire ne m’a pas permis d’aller au bout de cette formation. Les deux premiers confinements ont été pour moi l’occasion de prendre du recul et de faire le point sur ma carrière professionnelle et sur ce que je souhaitais pour l’avenir. J’ai ainsi décidé de me reconvertir, et j’ai choisi la Wild Code School pour cela. J’ai pas mal hésité entre les formations proposées, heureusement les nombreux événements organisés par la Wild m’ont permis de découvrir en amont les différents métiers et mon choix s’est porté sur la data.

 

Avant de rejoindre l’alternance Data engineer, tu as complété une formation de Data analyst de 5 mois à la Wild Code School de Paris. Qu’est-ce qui t’a donné envie de te spécialiser en data engineering ?

Tout d’abord je souhaitais reprendre mon cursus au sein de la Wild afin de continuer à monter en compétences et explorer le spectre des métiers de la data. J’ai choisi la formation Data engineer afin de pouvoir me former aux technologies et aux plateformes de cloud computing, notamment AWS ou GCP qui sont aujourd'hui très utilisées. 

 

Connaissais-tu le métier de Data engineer avant de postuler à la formation ?

Oui. Le programme de formation Data analyst de la Wild est très large et permet de découvrir les différents métiers de la data, comme la data science avec le Machine learning, ou la data engineering via SQL, le web scraping ou encore la création et la requête d’API.

 

Pourquoi avoir choisi de continuer ton parcours de formation à la Wild Code School plutôt qu’au sein d’une autre école ?

Parce que je suis déjà un Wilder. Je connais cette école et j’ai confiance en sa pédagogie, sa philosophie et sa communauté. Je ne voyais pas l’intérêt de chercher une autre école alors que les méthodes de la Wild Code School me conviennent parfaitement.

 

Le métier de Data engineer et ses particularités

Qu’est-ce qui t’intéresse le plus dans le fait d’avoir une double casquette développement informatique / data ?

La transversalité au sein de l’entreprise. La possibilité de travailler avec les différents secteurs, d’être le lien entre la partie business et la partie tech. Et puis plus simplement, coder c’est cool !

 

Selon toi, en quoi un Data engineer est-il essentiel dans une entreprise ?

Le Data engineer est essentiel pour une raison simple : la donnée d’une entreprise, c’est lui. Il développe, automatise et optimise le flux de données et les prépare pour leur analyse. Le travail des Data analysts et Data scientists découle du sien.

 

Le mot de la fin

Quels conseils donnerais-tu à quelqu’un qui souhaite suivre le même parcours de reconversion que toi ?

Tout d’abord ne pas hésiter. Choisir la reconversion, notamment dans la tech, c’est parfois un peu effrayant. Il est facile de se dire qu'on n'a pas le niveau suffisant ou pas le background adéquat. C’est naturel, mais faux. Peu importe ce que l’on a fait avant (une licence d’histoire, je rappelle), c’est toujours une force, et non une faiblesse.

Ensuite de ne pas paniquer, les premiers jours de formation peuvent parfois être déstabilisants, les notions un peu obscures. Rassurez-vous, vous n’êtes pas tout seul, ce “syndrome de l’imposteur” tout le monde le vit mais il s’efface très rapidement grâce à la bienveillance des formateurs et la cohésion entre les Wilders.

Enfin, de profiter au maximum de l’aventure. C’est une expérience très enrichissante, d’un point de vue pédagogique et humain et qui passe finalement bien trop vite.

 

Merci pour toutes ces réponses ! Aurais-tu un dernier mot pour les futurs Wilders qui te lisent aujourd’hui ?

Comme on dit dans le monde du gaming : GLHF ! (Good Luck and Have Fun).

 

Pour aller plus loin

Si, comme Alan, vous souhaitez vous reconvertir dans la Data engineering, découvrez nos parcours de formation :

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